• Souvent l'objet d'idées reçues, la bière ne serait en fait pas à l'origine des "abdos-Kro", plutôt liés à un laisser-aller général. En effet, la bière, associée à une augmentation des graisses, ne se limite pas à des effets sur l'abdomen, mais sur l'ensemble du corps.

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    Les adeptes de l'happy hour soucieux de leur silhouette vont être rassurés: la bière ne serait pas responsable de leurs "abdos-Kro". Constatant une "étrange" corrélation entre consommation de bières et proéminence du ventre, des chercheurs de l'université de Göteborg, en Suède ont voulu vérifier si nos bières préférées étaient vraiment à l'origine de cette prise de graisse localisée au niveau de l'abdomen. L'enquête, publiée dans l'European Journal of Clinical Nutrition fait cette révélation :
     
    La bière ne fait pas forcément grossir !
     
    Réalisée durant quatre ans sur 20 000 Allemands volontaires (7 876 hommes et 12 749 femmes), l'expérience distinguait plusieurs catégories: les abstinents, les buveurs modérés (qui consomment entre 50cl et 1 litre chez les hommes, pas plus de 25cl chez les femmes, les "gros buveurs"... Les sujets ont été pesés et ont répondu à des questionnaires sur leur consommation quotidienne de bière.
     
    Salade et bière ?
     
    Résultats : cette boisson à base d'orge et de houblon est effectivement associée à une augmentation des graisses, mais pas exclusivement au niveau de l'abdomen, puisqu'elle se répartirait sur l'ensemble du corps.  
    Toutefois, cette recherche ne tient pas compte de nombreux autres facteurs extérieurs, notamment ce que l'on mange pour accompagner un demi. Logique: les "bons vivants" préfèrent souvent une collation copieuse plutôt choucroute-bière qu'une salade-tomates-bière !  
    Après cette étude, libre aux gourmands de trouver la juste proportion entre bières, "abdo-kro" et plaques de chocolat...

    L'abus d'alcool est dangereux pour la santé, à consommer avec modération.
    Par  Pierre-François Lomati

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  • Un seul cycle vous manque et vous rentrez à pied. Manque de bol, c’est ce qui est arrivé à près de 6 000 cyclistes l’an dernier à Paris, soit une hausse de 37,41% en un an !

    Pas de panique, cette augmentation s’explique en partie par une autre progression : celle de la pratique du vélo en France, notamment via les systèmes de vélos partagés. Le pourcentage de cyclistes urbains victimes de vol chaque année stagne lui à environ 6%.

    Surtout : le nombre de vols par personne et par an baisse très fortement selon l’ancienneté de la pratique du vélo, rappelle le ministère du Développement durable. La preuve qu’il est bon de rappeler quelques trucs et astuces pour ne pas se faire piquer sa bécane.

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    Tu attacheras ton vélo

    Première règle des dix commandements du cycliste : tu attacheras toujours ton vélo. Encore faut-il bien le faire. Toujours selon le ministère du Développement durable, "un tiers des cyclistes n’attachent pas leur vélo à un point fixe".

    Rappelons donc les fondamentaux : il faut attacher le vélo à un point fixe et solide (si possible un rack prévu à cet effet ou alors un poteau, une clôture...). Veillez à attacher à la fois le cadre de votre monture et la roue avant, qui est la plus facilement démontable, à ce point.  

    Tu choisiras le bon antivol 

     

    C’est le choix cornélien auquel est confrontée toute personne qui enfourche une bicyclette : alourdir son vélo de 10 kilos d’antivols, mais rouler l’esprit léger ou prendre une attache légère et craindre le vol à chaque arrêt. Apparemment, trop de gens choisissent la seconde option : 95 % des cyclistes utilisent un antivol de mauvaise qualité.

    Pour trouver le juste milieu, nous vous conseillons l’excellent test des meilleurs antivols vendus sur le marché réalisé par la Fédération française des usagers de la bicyclette (Fub). Résultat de ce test : les antivols en "U" sont quasiment toujours meilleurs que les autres.

    Reste l’arme fatale : le python en total métal à serrure sécurisée. Une arme aussi chère qu’efficace. Les plus bricoleurs choisiront donc la version fait maison, expliquée sur ce blog canadien.

    Tu choisiras le bon emplacement

    Là encore, il y a deux écoles. Beaucoup vous diront qu’il vaut mieux attacher son vélo dans un lieu fréquenté et illuminé. En effet, on imagine mal quelqu’un sortir sa pince à la vue de tous.

    Vécu, je me suis fait voler le mien deux fois devant un commisariat pensant que c'était un lieu plus sécurisé !

    En effet la concentration de vélos, loin d’agir comme une protection, exercerait plutôt une forte attraction sur les voleurs de bicyclettes. Par exemple dans la ville d’Antony : la majorité des vols commis l’ont été sur les parkings situés à la sortie des deux gares RER !

    Tu marqueras ton biclou

    Reste un bon moyen de décourager les voleurs : le marquage Bicycode. L’association Fub propose aux cyclistes de graver, pour une somme modique, un numéro sur le cadre de leur vélo. Ainsi, votre bécane pourra si elle est retrouvée vous être restituée.

    Surtout le marquage, indélébile, semble décourager les voleurs : seuls 3% des marqués en France sont dérobés au cours de leur vie, alors que le vol touche entre 13% et 23% du parc de vélos classiques selon la Fub, qui propose une carte des sites où l’on peut faire marquer sa bicyclette : réseau opérateurs Bicycode.

    Tu bricoleras

    Vous n’êtes pas convaincus par ces propositions ? Vous estimez qu’aucun moyen n’est infaillible ? Conrad, une entreprise allemande a trouvé la solution ultime. La voilà :

         

    Le modèle a été uniquement développé pour cette publicité et n’a pas été homologué. Il n’est donc pas commercialisé. Conrad a toutefois mis en ligne un mode d’emploi (rapide et dans la langue de Goethe) de cette invention. Libre à vous de la reproduire. Chiche ?

    Chers riverains, n’hésitez pas à partager vos astuces dans les commentaires.

    Par David Chaumet.


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  • 1345474696_9_ccdb66rec_thumb_rectangle
     
    L'association CCDB 66 vous attend au forum des associations de Perpignan pour sa première participation qui se tiendra les 8 et 9 septembre 2012 au parc des expositions de Perpignan.
     
    Le dimanche suivant ne manquez surtout pas la "Grillade de rentrée" pour se retrouver dans la bonne humeur entre ami(e)s.
     
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    Plus d'informations sur le site de l'association www.ccdb66.canalblog.com
     

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  • 1345474211_9_lilgre_thumb_rectangle
     

    Comme chaque année, LGBT 66 sera présente au Forum des Associations de la Ville de Perpignan, les 8 et 9 septembre 2012.

    A cette occasion, LGBT 66 fera son repas de rentrée le 8 septembre 2012 à El Médio, 8 avenue du Palais des Expositions - Perpignan à 20h00.

    Le nombre de place étant limité, il est important de réserver au plus vite en envoyant un chèque (d'un montant de 25 € par repas) à l'ordre de "El médio" à LGBT 66, 52 rue Fochc Perpignan (n'auront réservé que les personnes qui auront envoyé le règlement).

    Retrouvez toute l'actualité de la rentrée sur http://www.lgbt66.fr


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  • C'est peut-être la rentrée, mais les parisiens ont encore quelques beaux jours devant eux et ce serait dommage de ne pas en profiter. Histoire de prolonger un peu l’été, quelques activités qui sentent bon le soleil et le sable chaud.

     

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    Se faire une toile sous les étoiles

    Tant que la météo le permet, offrez-vous une séance de cinéma en plein air ! La ville de Montreuil (Seine-Saint-Denis) propose deux soirées gratuites, avec les projections d’Intouchables le 1er septembre au parc Montreau et d’Arthur et les Minimoys le 8 septembre, rue de Yélimané. Samedi commence aussi le festival de courts métrages Silhouette, aux Buttes-Chaumont (19ème). Pendant une semaine, des dizaines de projections et concerts en plein air sont prévus. Gratuit. www.association-silhouette.com

     

    Du tourisme en musique dans la région

    Le Festival d’Ile-de-France, qui propose des spectacles dans de grandes salles parisiennes comme dans de petites communes rurales de grande couronne, invite à redécouvrir la région au fil de vingt-neuf concerts du 8 septembre au 14 octobre. Châteaux, églises, théâtres, cirques, anciennes fabriques ou fermes, autant de cadres insolites dans lesquels se produiront des artistes qui feront voyager les spectateurs en Arménie, à New York, en Turquie, au Liban, au Mexique…
    Concerts de 12 à 26 €, 15 € avec un pass.
    www.festival-idf.fr

     

    Peaufinez votre bronzage à la plage

    Les plages de sable fin ne sont pas l’apanage des régions côtières. Plusieurs bases de loisirs fluviales franciliennes restent ouvertes en septembre, notamment en Seine-et-Marne. Celle de Jablines-Annet, située dans une boucle de la Marne, ouvrira ses deux grandes plages de sable blanc aux baigneurs tous les week-ends de septembre. Sur celle de Vaires-Torcy, on peut pratiquer la pêche et le pédalo jusqu’à la fin du mois et le canoë kayak, le catamaran et le windsurf jusqu’en novembre.
    www.baseloisirs-jablines-annet.fr
    http://vaires-torcy.ucpa.com

     

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    La Plage de Glazart

     

    La fête n’est vraiment pas terminée

    Les folles soirées parisiennes qui font le sel de l’été ne meurent pas avec le mois d’août. Terrassa, les dimanches sur une péniche consacrés aux dj's internationaux, continue jusqu’au 13 septembre. Et jusqu’au 9 septembre, direction La Plage de Glazart et ses 50 tonnes de sable en plein Paris. Au programme, concerts gratuits, apéros clubbing, showcases, cartes blanches, brunchs et animations.
    Terrassa, péniche Concorde Atlantique, face au 23, quai Anatole-France (7e). Glazart, 7-15, avenue de la porte de la Villette (19e) www.glazart.com/

     

    Faites le plein de nature en deux festivals

    De grands airs classiques au cœur du Parc floral de Paris (12e), tel est le programme alléchant du festival Classique au vert, qui dure jusqu’au 16 septembre. Les trois week-ends restants tourneront autour des thèmes "musique et cinéma", "musique et architecture" et "musique et arts de la scène". Les amoureux de la nature peuvent aussi se rendre à We Love Green, festival écolo qui se tient du 14 au 16 septembre au parc de Bagatelle (16e). Au programme, Norah Jones, Camille, Beirut, Charlotte Gainsbourg…
    www.classiqueauvert.paris.fr
    www.welovegreen.fr

     

    Des sports de vacances en plein Paris

    Nostalgiques des virées sur l’océan? Il n’y a pas de quoi, puisque presque tous les sports d’été sont aussi proposés en ville. Le Ski nautique club de Paris, au Bois de Boulogne (16), est ouvert jusqu’au 31 octobre. Pour les fous de la pagaie, toute l’année, l’association Jeune kayak parisien propose des séances en piscine et des sorties sur des rivières. La ville compte aussi de nombreux clubs de plongée, dont l’Association sportive des hommes-grenouille de Paris, qui offre un baptême gratuit en piscine dans le 19e et des sorties régulières en rivière. Enfin, à l’heure de l’apéro, pensez aux nombreux boulodromes parisiens : rien de tel qu’une petite partie de pétanque pour avoir de nouveau la tête en vacances !

    Par Benjamin Reille.


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