• A Anvers, la condamnation de deux jeunes hommes à des peines de prison pour plusieurs agressions homophobes rappelle à nouveau combien la dénonciation des faits n'est pas seulement importante pour les victimes...

    Deux jeunes hommes ont été condamnés mercredi dernier pour une série d'agressions visant essentiellement des gays, en début d'année, à Anvers (Belgique). Les deux garçons, Yahya F. et Samir M., travaillaient en équipe. Yahya recherchait ses victimes sur un site de rencontre néerlandais. Caché sous un pseudonyme, comme c'est l'usage, il proposait des rapports sexuels contre paiement et donnait rendez-vous à ses "clients" dans le quartier de Linkeroever. Lorsque la victime arrivait sur place, un comité d'accueil l'attendait. Yahya F. était souvent accompagné de plusieurs mineurs et parfois de Samir M. Tous ensemble, ils dépouillaient leur rencontre d'un soir de leur argent, cartes bancaires et téléphone portable. La bande n'hésitait pas à faire usage de la violence : une des victimes a reçu plusieurs coups de couteau à la jambe. Les faits se sont produits en janvier et février 2012.

    anvers

    Prison ferme

    Yahya F. et Samir M. âgés de 19 ans, ont été condamnés par le tribunal correctionnel d'Anvers. Le premier, déjà connu de la justice pour des faits similaires commis alors qu'il était mineur, a écopé de quatre ans de prison, dont 37 mois ferme. Son complice, impliqué dans deux agressions, a été condamné à deux ans de prison, dont la moitié ferme. La victime qui a été poignardée s'est constituée partie civile et a reçu une indemnité provisionnelle de 2.500 euros.

    Même si l'homophobie n'a pas été retenue comme circonstance aggravante, la peine démontre que le tribunal n'a pas pris l'affaire à la légère. Le Président a qualifié les faits de "lâches et condamnables", après qu'à l'audience, les deux garçons aient expliqué qu'ils avaient commis ces agressions pour gagner de l'argent rapidement, en ciblant les homosexuels "parce qu'ils portent moins vite plainte". Six victimes seulement se sont d'ailleurs fait connaître alors que Yahia F. s'était vanté d'en avoir agressé beaucoup plus. L'affaire démontre donc à nouveau que les plaintes pour violences homophobes sont trop rarement déposées, cause de la honte ou la gêne ressentie par les victimes ; alors que porter plainte peut visiblement conduire les agresseurs à de sévères condamnations.

    Qu'ils s'en prennent à moi, c'est eux qui porteront plainte pour coups et blessures !

    Par David Chaumet.


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  • Ce 31 août, il y a 15 ans déjà ; Diana, Princesse de Galles disparaissait tragiquement...

     

    Par Olivier de Cléry


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  • Et maintenant, l'ordinateur Louis XV !

    Un entrepreneur français a eu l'idée de s'allier avec les meilleurs artisans d'art pour créer des objets hors norme. Et ça marche !

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    Assortir son ordinateur au décor Louis XV, Louis XVI ou Empire d'un bureau de style est maintenant possible grâce au travail d'un entrepreneur français qui a su rassembler les meilleurs artisans d'art autour d'un projet : marier tradition et haute technologie. Les PC de la grande distribution et leur triste plastique gris s'effacent maintenant devant les ordinateurs que fabrique Georges Chirita dans son atelier de la banlieue parisienne, avant qu'ils ne soient habillés d'écrans plaqués or, soutenus par des colonnes en marbre où trônent des aigles impériaux et accompagnés de souris et de claviers gainés de cuir.
     
    "Au début, tout le monde était étonné de voir un lustre Louis XV avec des ampoules électriques. Maintenant, ça n'étonne plus personne", explique M. Chirita, créateur d'origine roumaine de ces luxueux appareils, assis devant une bibliothèque où se mêlent manuels d'informatique et ouvrages sur les Arts décoratifs. "L'ordinateur n'était considéré jusqu'alors que comme un outil. Arrivé à maturité, il est maintenant plus facile de le considérer comme un objet de luxe", a constaté cet ingénieur, électronicien de formation, arrivé en France il y a 22 ans.
     
    Travail d'horloger

    Il décide alors d'exploiter les richesses artistiques de la France dans un domaine inédit : le design des ordinateurs. Il choisit donc de privilégier trois styles, dominants selon lui, Louis XV, Louis XVI et Empire. Pour réaliser son idée, à la fin des années 1990, M. Chirita fait des maquettes, des prototypes. Il monte lui-même tous les composants informatiques dans son atelier, mais achoppe sur la réalisation des décors de style. Il se rend notamment compte qu'il n'obtiendra pas le résultat attendu avec des outils modernes. L'entrepreneur part donc à la recherche d'artisans d'art qui puissent mettre au service de son projet "leur savoir-faire extraordinaire transmis de génération en génération", tout en respectant le style, les proportions spécifiques et les éléments décoratifs propres à chaque modèle.

    L'accueil est d'abord méfiant, il faut du temps à M. Chirita pour obtenir la confiance de ces artisans plus habitués à réhabiliter des pièces chargées d'histoire que de se frotter au high-tech. "Mais une fois qu'ils ont compris le principe et se sont aperçus que cela ne dévalorisait pas leur travail", l'entrepreneur a réussi à se faire intégrer dans le circuit, "très fermé" selon lui, des artisans d'art. S'il réalise lui-même 80 % de l'ordinateur, dont toute la partie électronique, il sollicite ces derniers selon leur spécialité : travail du marbre, de l'albâtre, du lapis-lazuli ou de la malachite, tournage des pièces en métal ou dorure du boîtier. Vient ensuite l'assemblage dans son atelier, un "vrai travail d'horloger" réalisé avec de petites vis, elles aussi recouvertes d'or.

    A partir de 17 000 euros...

    Les prix de ces ordinateurs de luxe sont le reflet du soin et des luxueux matériaux utilisés : ils débutent à 17 000 euros. Ensuite, "tout dépend du style et des finitions", précise M. Chirita. Tout est possible, selon le goût du client : pièces en or massif ou plaqué, ajout d'initiales ou d'un blason. "Nous travaillons principalement avec des architectes décorateurs, les personnes fortunées n'ont pas le temps de s'occuper de ça elles-mêmes. Parfois, nous ne connaissons même pas le client final", indique-t-il.

    "La clientèle est internationale à 90 %", explique encore M. Chirita, qui, à défaut de donner plus de détails sur sa riche clientèle, précise que les Chinois aiment la finition brillante, les clients du Golfe persique l'or mat, et que les Américains ne montrent pas de préférence marquée. Quant au nombre de ces ordinateurs très spéciaux vendus chaque année, il est lui aussi secret, tout juste saura-t-on que les ventes sont confidentielles, car il ne faut pas "banaliser le produit".

    Version Garcons Hype :

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    A la rédaction, on s'est dit pourquoi ne pas essayer nous-mêmes !

    Achetez un vieux cadre du style souhaité chez un antiquaire, dans une brocante ou un vide-grenier retaillez-le et pour finir collez-le autour de l'écran avec de l'adhésif double-face.

    Bon, ce n'est pas de la haute-couture, mais cela peut faire son effet pour moins de 100 euros.

    Par Benjamin Reille.


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  • La dame pipi qui a tout compris !

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    Leçon marketing n°1 : Flatter l'égo des mecs pour leur prendre plus de thunes et pas d'histoire de traduction, même moi qui ne parle pas un mot d'allemand, j'ai compris !
     
    Pas besoin d'avoir fait Harvard pour apprendre à gagner plus de sous...
     
    Par David Chaumet.

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  • Amusons-nous, aimons-nous, faisons comme bon nous semble...bref vivons ! Voici l'album photo d'une partie de notre vie.

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    Elle te plait la bague, Mamour ?

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    Merci d'être venus si nombreux à la cérémonie !

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    Départ pour le banquet. (Le blanc le grossit hi hi hi !)

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    J'avais bien choisi le spectacle final !

       

    Pour la petite histoire. En 2010, ces quatre équilibristes tout en muscle avaient mis en émoi la salle Paul VI du Vatican lors d'une audience annuelle. Surprise : les frères Pellegrini avaient aussi représenté l'Italie en 2008 lors du... Gay Circus de Barcelone ! Benoît XVI avait l'air ravi du spectacle tout comme les cardinaux et les bonnes soeurs.

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    Après le final, on est parti tout de suite pour Sitgès.

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    Tu achètes toujours des trucs inutiles ! (Un placard entier à la maison)

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    La chambre pour le bébé est prête.

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    Le plus beau jour de notre vie !

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    Attends-moi ! (Le noir m'amincit hi hi hi !)

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    Si tu pleures, je pleure... on se revoit dans 5 jours !

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    Tu as survécu ! On était bien sous le soleil de Mykonos.

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    Ton chapeau... tu vas encore attraper un coup de soleil !

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    Tu vois comme je suis galant envers toi ?

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    Ta petite laine Mamour !

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    Encore et toujours, je m'occupe de toi.

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    Je te réajuste même ta tenue !

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    Il faut toujours rectifier les détails avec toi.

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    Tu as abusé avec les lunettes, bon mon treillis n'est pas top aussi !

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    Tu as voulu faire le fou au tennis, on voit le résultat !

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    Nos dernières vacances en Allemagne sur les lieux de ton enfance.

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    J'en ai assez des déjeuners chez ta mère, ton frère est ennuyeux !

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    Tes lunettes !

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    Et ton discours !

    Voici un aperçu de notre petite vie, nous vivons sereinement sans nous cacher, sans provoquer non plus, nous sommes un couple fidèle et amoureux comme tous les autres, parmi des milliards.

    Cet article est dédié à toutes les personnes qui s'aiment sans tenir compte de leur préférence amoureuse, aux célibataires qui recherchent leur moitié, aux personnes qui souffrent de rejets, de discriminations, d'oppressions en raison de leur choix de vie... sans oublier une pensée spéciale à mon Bisounours qui me supporte !

    Par Laurent Doucet de Courtuy.


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